Les végétaliens refusent toute « exploitation animale ». Ils ne mangent ni viande ni poisson, ont banni oeufs et produits laitiers de leur alimentation, et boycottent également des matières comme le cuir, la laine et la soie. Ophélie Véron, auteure et activiste, défend cet engagement démocratique. Massimo Montanari, historien de l’alimentation, met en perspective ces nouveaux interdits.
Depuis la fondation en Angleterre, en 1944, de la Vegan Society, ses adeptes refusent toute « exploitation animale ». Ils ne mangent ni viande ni poisson, ont banni œufs et produits laitiers de leur alimentation, et boycottent également des matières comme le cuir, la laine et la soie. Ils voient le végétalisme comme une éthique sociale et politique permettant de repenser notre lien à la nature et au vivant. Ophélie Véron, auteure et activiste, défend cet engagement démocratique. Massimo Montanari, historien de l’alimentation, met en perspective ces nouveaux interdits et ce qu’ils signifient pour lui.
Réalisatrice
Claudia Imbert
Rédactrice en chef
Claire Parnet
Journaliste
Frédérique Cantu
Montage
Sylvère Kretzschmar
Image
Julien Dubois
Son
Guillaume Valeix
Diffuseur
ARTE